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ca fé po mal
01/09/2006 00:28
Une petite fille, qui était là sans le vouloir, commence a haïr, a detester. Enfermée dans une salle toute blanche, elle n'a plus d'interets pour rien tant la blancheur la dégoute. Il n'y a plus rien, elle ne se sens etre plus rien. Elle voudrais juste oublié qu'elle vit, oublier qu'elle est la, oublier qu'elle a mal. Coincée dans cette salle par la présence de son corps abandonné de son esprit devenu fou d'ennuie, elle veut le détruire. Ce corps qui a fiat d'elle une vivante, ce corps sur lequel aucune douleur n'est marquée alors qu'elle, elle a si mal. On dit que le paradis est blanc. On dit qu'au paradis il y a des anges. Elle est dans un endroit blanc, blanc d'interet. Est ce un ange ? Seul dans la découverte du paradis ? Un ange seul n'est plus un ange tant la solitude est une douleur, une douleur dûe aux tourments des démons. Un ange tourmenté par le malin, un ange aux ailes a la teinte noir de haine et de dégout du Bien. Elle se lève, ne veut plus voir ses murs blanc, se sens suffoquer par la pression du bonheur que le paradis ne lui offre pas, dans une douleur contrôlée par la folie, elle hurle. Des cris perçant résonnent autour d'elle, les cris de son âme épuisé par la lumière de la blancheur de la solitude. Des cris de tourment, de douleur , l'envellope et l'étouffe dans un voile sonore où ses oreilles bourdonnent d'horreur tant son coeur bat pour se défendre de ceux qui veulent le prendre. Elle hurle, veut sortir. Elle sens son corps bouillire, la chaleur de l'enfer, le rejet de sa nature d'ange appelée par les démon qui ne cherchent que son sang luisant et son corps à la pureté si douce. "Ne plus jamais etre un ange.. ne plus jamais etre un ange... je hais ses ailes si blanche qu'elles se confondent avec le tourbillont de lumière de cette pièce!" Une douleur atroce dans sa bouche qui hurle des mots qui lui brûlent les lèvre tant les démon s'en rapproche. Ses canines s'allonges, Dieu avait voulu que les anges ressemblent a sa création les humains, les démon en avait profiter pour les métamorphoser. De ses cros pointus elle s'arrache les veines. Répend son sang chaud sur les mur froid de cette neige blanche. Elle l'étale et s'en salit les ailes, des ailes si pur souillé par son propre sang , elles brûlent, l'innocence brulée par le crime, elles en deviennent noir. Elle peut enfin les distinguer de cette salle qui lui interdisait de les voir pour ne pas en avoir la prétention. Son sang gicle et sa chair est a vif, sa fureur pousse son coeur à battre contre le sang dont elle se débarasse. Ses yeux habitué a la pureté et l'innoncence de la lumière extrète de l'invisibilité des limite des murs blanc qui l'entouraient, ils se retournent pour ne plus voir les démons qui la tourmente et laisser une pâle pureté blanche à la place d'une flamme de fureur dans ses yeux, laissant une partie angelique sur cet être si pur que le malin envouta. Le sang lui manque, elle tombe. Ses ailes s'étalent sous elles, récouvrant la salle de ses longues plumes noires. Ses yeux sont la seule partie blanche de son corps baignant dans le sang, elle ne voit plus. Pourtant, elle n'en a pas besoin pour sentir une présence. Enfin, elle n'est plus seule, elle a rejoint un rangs d'ange-démon, c'est l'enfant démon, car l'enfant est innoncent comme l'ange et ses yeux reflètent cette innoncence par leur blanc immaculé et par leur incapacité a voir el mal. Un son léger parvient à son oreille, un son qui a toujours été là avant, au fond d'elle. Elle comprend maintenant ce qu'il est dis dans cette douce musique : on appelle un ange. Inconsiament elle se met a chanter, chanter ces paroles qui appelle ces anges, ces anges du sang. De plus en plus fort, elle chante, elle entre dans ce monde. Sans ses yeux, elle voit ce qu'elle veut. Elle voit un ange, et elle sais qu'il est vraiment là, elle sens sa main prendre la sienne. Un ange aux ailes de velour, au sourire qui laisse découvrir ses cors, au yeux envahient de flos noirs. Elle sens qu'ils sont comme eux, elle se sens protéger dans ses bras, les autres aussi sont si beau, mais celui là, il l'a dans ses bras, enfin quelqu'un qui la protège, quelqu'un comme elle. Mais elle, elle a les yeux blanc, elle a les yeux pur, elle ne pourra jamais voir le mal
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